Leçons inattendues (et drôles) pour les leaders d’aujourd’hui

Leçons inattendues (et drôles) pour les leaders d’aujourd’hui

Leçons inattendues (et drôles) pour les leaders d’aujourd’hui

Certains leaders, malgré leurs défauts, maîtrisent étonnamment bien les dynamiques relationnelles. Sans les imiter aveuglément, examinons rapidement leurs tactiques et voyons comment vous pourriez les appliquer avec éthique et humour dans votre leadership quotidien.

1. Créer un sentiment d’appartenance « nous contre eux »

Des leaders comme Steve Jobs chez Apple ou Elon Musk chez Tesla ont réussi à fédérer leurs équipes autour d’un ennemi commun (par exemple, l’obsolescence technologique). Identifiez avec votre équipe un adversaire symbolique clair, comme une vieille méthode inefficace ou une habitude dépassée, pour renforcer l’unité.

2. Simplifier pour mieux impacter

Winston Churchill ou Barack Obama excellaient dans l’art de résumer des idées complexes en slogans mémorables. Vous aussi, choisissez une phrase simple mais puissante qui représente clairement votre objectif stratégique.

3. La répétition émotionnelle

Martin Luther King avec « I have a dream » ou Nike avec « Just do it » ont compris la force d’une idée répétée avec conviction. Sélectionnez une émotion ou une valeur clé pour votre équipe, et répétez-la, vivez-la et célébrez-la constamment.

4. Maîtriser l’art du silence

Nelson Mandela maîtrisait parfaitement les silences pour donner du poids à ses discours. En réunion, osez laisser des silences stratégiques pour permettre à vos idées de s’installer et aux autres de réfléchir.

5. Cultiver la proximité authentique

Angela Merkel, en période de crise, a su adopter une posture sobre, directe et rassurante, créant un climat de confiance sans excès d’émotion ni mise en scène. Comme leader, montrez que vous comprenez sincèrement les défis de votre équipe en pratiquant une écoute attentive et régulière, sans chercher à briller.

Conclusion

Observer les tactiques relationnelles de certains leaders, même inattendus, permet de comprendre que le leadership n’est pas seulement une affaire de stratégie ou de charisme. C’est surtout un art d’ajuster sa présence, ses messages et ses gestes aux dynamiques humaines en jeu. Ces exemples soulignent à leur manière ce que je défends au cœur de mon travail : l’intelligence relationnelle est une boussole précieuse pour exercer un leadership plus fin, plus durable, et profondément humain. À chacun de s’en emparer à sa manière.

Pour aller plus loin

📩 Envie d’échanger en direct sur mes solutions ou conférences ? Contactez-moi ici.

📬 Pour recevoir mes prochaines réflexions en avant-première : abonnez-vous à ma newsletter mensuelle.

👉 En savoir plus sur mes accompagnements 

📍 Individuels

📍 Aide à la transformation collective

Dépasser les divisions pour bâtir des relations durables

Dépasser les divisions pour bâtir des relations durables

Dépasser les divisions pour bâtir des relations durables

Dans un monde où les tensions et les divergences sont omniprésentes, comment les leaders peuvent-ils construire des relations solides et durables ? L’intelligence relationnelle (iR) offre des clés essentielles pour y parvenir.

Dépasser les divisions

​1. Comprendre avant de convaincre

Plutôt que de chercher à imposer une vision, il est crucial d’écouter activement les parties prenantes. Cette écoute sincère permet de désamorcer les tensions et de montrer que chaque voix compte.

2. Redéfinir les objectifs communs

Même dans des contextes polarisés, il existe des valeurs ou des besoins partagés. Identifier ces points communs permet de recentrer les discussions sur ce qui unit plutôt que sur ce qui divise.

3. Explorer les émotions

Les divergences ne sont pas toujours rationnelles. Reconnaître et intégrer les émotions des interlocuteurs dans le processus de résolution favorise un dialogue ouvert et équilibré.

4. Être clair sur ses intentions

La transparence renforce la confiance. Clarifier ses intentions et agir dans l’intérêt collectif permet de bâtir des relations solides.

5. Accepter le compromis

Trouver des accords implique parfois de faire des concessions. L’iR encourage la coconstruction de solutions respectueuses des intérêts de chacun.

Dépasser les divisions

Conclusion

L’iR est une boussole précieuse pour les leaders souhaitant oeuvrer dans des environnements complexes et construire des relations durables.

👉 En savoir plus sur 👇

Nos accompagnements :

📍 Personnalisés
📍A la transformation

Reconstruire une équipe après un management toxique : étapes clés

Reconstruire une équipe après un management toxique : étapes clés

Reconstruire une équipe après un management toxique : étapes clés

Les pratiques managériales toxiques peuvent profondément affecter la culture d’entreprise et la performance des équipes. Pour restaurer la confiance et l’engagement, une démarche intentionnelle et multidimensionnelle est nécessaire.

Management toxique

Les étapes clés :

1. Instaurer une communication ouverte et transparente

La transparence sur les décisions, les changements et les attentes permet aux employés de se sentir valorisés et respectés. Les dirigeants doivent dialoguer ouvertement sur les erreurs passées, les leçons apprises et les mesures prises pour éviter leur répétition.

2. Encourager l’expression des sentiments et des préoccupations

Mettre en place des forums de discussion, des séances d’écoute ou des mécanismes de feedback anonymes permet de reconnaître et de valider les expériences vécues par les employés. Cela favorise la résilience et évite la victimisation systématique.

3. Réhabiliter l’environnement de travail

Redéfinir les valeurs de l’entreprise pour refléter un engagement envers le respect, l’équité, la diversité et l’inclusion. Ces valeurs doivent être intégrées dans les pratiques quotidiennes, les évaluations de performance et les processus de prise de décision.

4. Clarifier la vision de l’entreprise et ses objectifs

Aligner les objectifs avec des valeurs plus larges revitalise l’entreprise et stimule l’engagement des employés. Par exemple, Volkswagen, après le Dieselgate, a pivoté vers l’électrification de sa gamme pour souligner son engagement envers le développement durable.

5. Favoriser l’engagement et la participation des employés

Impliquer les employés dans la redéfinition de la mission et des objectifs de l’entreprise à travers des ateliers de cocréation, des groupes de travail sur la culture d’entreprise ou des comités d’action sur la diversité et l’inclusion.

Conclusion

Reconstruire une équipe après une expérience toxique est une opportunité unique de transformation profonde. En accompagnant les dirigeants et leurs équipes à rétablir la confiance, clarifier leur vision et réaligner leurs valeurs, mon approche leur permet de bâtir durablement un environnement humainement riche, cohérent et stimulant, prêt à relever les défis à venir.

👉 En savoir plus sur 👇
nos accompagnements à la transformation

Comment perdre la confiance de ses équipes ?

Comment perdre la confiance de ses équipes ?

Comment perdre la confiance de ses équipes ?

La confiance est la clé de voûte des relations professionnelles solides. Elles jouent un rôle essentiel à tous les niveaux hiérarchiques d’une entreprise. Elle se nourrit de l’intégrité, de l’ouverture et du temps, preuve que la fiabilité d’une personne ou d’une organisation est réelle et méritée. Pour les dirigeants et les managers, comprendre les facteurs qui érodent la confiance est essentiel pour prévenir la démoralisation, la baisse de productivité et le désengagement des employés.

engagement d'équipe

1. Le manque d’honnêteté

Ce qu’il produit : le berceau de la défiance et de la méfiance.

Problème : la confiance se brise lorsque les promesses des leaders ne se traduisent pas en actions. Cette discordance entre les paroles et les actes sème le doute et le cynisme parmi les employés.

Pour l’éviter : admettre ses erreurs et être clair sur les capacités et limites actuelles de l’organisation renforce la crédibilité. Communiquer de façon transparente et argumenter ses décisions.

2. L’opacité 

Ce qu’elle produit : un fossé de compréhension et la démission silencieuse.

Problème : l’exclusion des employés des processus décisionnels crée un sentiment d’isolement, particulièrement néfaste en période d’incertitude.

Pour l’éviter : instaurer des canaux de communication bidirectionnels et échanger avec les employés sur la vision en écoutant vraiment leurs remontées d’information. L’échange favorise un sentiment d’appartenance et nourrit la prise de décision.

3. Des règles qui fluctuent sans explication

Ce que cela produit : le sentiment d’injustice.

Problème : l’application de critères différents selon les personnes génère un sentiment d’iniquité, de colère et sape la confiance.

Pour l’éviter : établir et maintenir des critères clairs et équitables pour tous. Reconnaître et récompenser les performances de manière juste et transparente. Pratiquer l’inclusion.

4. L’incompétence

Ce qu’elle produit : un poison lent

Problème : la perception d’une direction incompétente ou désintéressée (autant sur l’expertise que sur le mode managérial) démotive et dissout la confiance.

Comment l’éviter : les dirigeants doivent s’engager dans un apprentissage continu et démontrer leur compétence ainsi que leur engagement envers les objectifs de l’entreprise.

5. Le déficit de reconnaissance

Ce qu’il provoque : la douleur, le doute, l’isolement, la révolte, le désengagement.

Problème : ignorer les contributions des employés c’est s’en prendre indirectement à leur estime de soi professionnelle et leur confiance dans la direction.

Pour l’éviter : mettre en place des systèmes de reconnaissance qui valorisent tous les types de contributions. Célébrer les succès collectifs et individuels renforce l’engagement et la fidélité.

Développer une culture de la confiance et de la mobilisation

Ces comportements contre productifs dans le management témoignent souvent d’un manque de compréhension des dynamiques humaines et d’engagement envers les valeurs fondamentales de l’entreprise. Lorsque les dirigeants manquent de ces qualités essentielles, cela se manifeste par une série de décisions et d’actions qui, intentionnellement ou non, minent la confiance et l’harmonie au sein de leur équipe, ce qui finit toujours tôt ou tard par se ressentir sur la capacité de l’entreprise à pivoter sur des marchés en forte évolution.

Dynamiques humaines : au cœur de ces dynamiques se trouve l’empathie, ou plutôt son absence. Un leader qui ne parvient pas à se mettre à la place de ses employés ou à comprendre leurs perspectives et défis ne peut pas instaurer un environnement de confiance. L’empathie permet de naviguer dans les complexités des relations humaines au travail, en offrant un sol fertile pour la croissance de la confiance mutuelle. Sans elle, la distance s’installe, laissant place à l’interprétation et à l’incertitude.

Engagement envers les valeurs : de même, un engagement vacillant ou superficiel envers les valeurs de l’entreprise crée un vide. Les valeurs ne sont pas simplement des mots sur un mur ou une charte d’entreprise. Elles doivent être vécues et respirées au quotidien, incarnées par ceux en position de leadership. Un manque d’alignement entre les actions des dirigeants et les valeurs proclamées de l’entreprise envoie un message puissant : si les leaders eux-mêmes ne les respectent pas, à quoi bon les employés le feraient-ils ?

Communication transparente : un autre élément clé est la communication. Un manque de transparence dans la communication indique souvent une réticence à partager les réalités — bonnes ou mauvaises — avec l’équipe. Cela peut découler d’une peur mal placée de semer l’inquiétude ou le doute, mais le résultat est souvent l’opposé. Les employés perçoivent cette rétention d’information comme un manque de respect ou de confiance, ce qui érode la confiance dans les deux sens.

Alignement et fiabilité : enfin, l’alignement entre le comportement et les décisions est fondamental. L’incohérence, qu’elle soit dans l’application des politiques, dans le traitement des employés ou dans le suivi des engagements, révèle un manque d’éthique et de fiabilité. Les employés ont besoin de savoir que leurs dirigeants sont des piliers stables et prévisibles sur lesquels ils peuvent compter, surtout dans les moments de turbulence.

Tous ces critères sont importants dans une économie où l’expérience des clients de l’entreprise est liée à l’expérience vécue en interne par les employés. A méditer…

Conclusion

Perdre la confiance ne demande pas d’erreurs majeures.

Il suffit de banaliser certains comportements qui, avec le temps, fragilisent le lien.

Dans des environnements instables, la confiance n’est plus un luxe, c’est une ressource stratégique.

Elle ne repose pas sur des déclarations d’intention, mais sur la cohérence entre ce que l’on dit, ce que l’on fait et la manière dont on écoute.

C’est souvent par petits manques répétés qu’une équipe se désengage.
Et c’est par une vigilance fine à ces signaux que le lien peut se retisser, dans le temps.

Créer une culture de la confiance n’est pas un exercice de style.

C’est une façon de construire du durable, dans l’humain comme dans les résultats.

👉 En savoir plus sur nos accompagnements 👇

📍 Personnalisés

📍 A la transformation

Management et engagement : comment réengager les équipes

Management et engagement : comment réengager les équipes

Management et engagement : comment réengager les équipes

Engagement d'équipe<br />

Le désengagement des équipes n’est pas un phénomène marginal : il s’est installé dans les organisations comme un bruit de fond, parfois silencieux, parfois criant.
D’après les dernières données Gallup 2024, 72 % des salariés français se disent peu engagés, et 15 % totalement désengagés. La France reste l’un des pays européens les plus touchés par ce déficit d’engagement.

Cette réalité est le symptôme de quelque chose de plus profond : un modèle de management en transition, confronté à des mutations de fond dans les attentes des collaborateurs, la nature du travail et la place du collectif.
Dans ce contexte, les méthodes de motivation classiques montrent leurs limites. Il ne s’agit plus de « remotiver » à la marge, mais de réinventer les liens de travail, en s’appuyant sur une forme d’intelligence longtemps sous-estimée : l’intelligence relationnelle.

Une question de lien, pas seulement d’organisation

La tentation est grande de répondre au désengagement par des outils : nouveaux process, plateformes RH, indicateurs de satisfaction, etc. Mais la véritable bascule ne se joue pas là.

Ce qui manque souvent aux équipes, ce n’est pas un outil, c’est une relation claire et sincère à leur manager, une vision partagée à laquelle se relier, et la sensation d’avoir un rôle actif à jouer dans l’évolution de leur environnement.

Réengager les équipes suppose donc de s’atteler à trois leviers majeurs :

1. Clarifier la vision et donner du sens

Sans cap partagé, difficile d’impliquer durablement. Mais il ne s’agit pas seulement d’avoir une belle « mission » affichée au mur. Il s’agit de traduire cette vision dans les décisions du quotidien, les priorités, les arbitrages.
Un leader engagé par son intention est capable d’articuler le pourquoi et le comment, en lien avec les enjeux collectifs. Cela passe par une parole claire, un discours incarné, et une cohérence perçue entre les mots et les actes.

2. Créer des espaces de reconnaissance réelle

La reconnaissance ne peut plus se résumer à une évaluation annuelle ou à une prime. Les collaborateurs attendent une attention sincère à leur contribution, à leur progression, et à leur engagement.
Cela suppose un changement de posture : passer du contrôle à la reconnaissance, de la hiérarchie à la gratitude active. La reconnaissance est l’un des moteurs psychologiques les plus puissants de l’engagement… à condition qu’elle soit contextualisée, personnalisée, et perçue comme juste.

3. Encourager l’autonomie et la responsabilisation

Les collaborateurs veulent être écoutés, mais aussi agir et être considérés comme des adultes responsables. L’autonomie ne se décrète pas : elle se construit, elle s’accompagne, elle s’incarne.
Les équipes qui s’engagent le plus sont celles qui sentent qu’elles peuvent influencer les décisions, proposer, expérimenter, sans être pénalisées à la première erreur. L’iR intervient ici en profondeur : elle aide les managers à poser un cadre clair, sécurisant, et suffisamment souple pour favoriser l’initiative.

Engagement d'équipe<br />

Conclusion

Une transformation du management à engager maintenant.

Réengager les équipes, ce n’est pas revenir à l’ancien modèle ni plaquer une recette miracle. C’est accepter que le lien humain est redevenu un enjeu stratégique, et qu’il se cultive dans les détails du quotidien. Un leader influent aujourd’hui n’est pas celui qui impose, mais celui qui sait révéler les énergies dormantes de ses équipes, et construire avec elles un futur possible. Et cela, seule une intelligence relationnelle développée permet de le faire avec justesse, constance et impact.

👉 En savoir plus sur 👇
nos accompagnements à la transformation

Repenser le pouvoir pour mieux diriger

Repenser le pouvoir pour mieux diriger

Repenser le pouvoir pour mieux diriger

Et si le vrai leadership d’aujourd’hui n’était plus dans la position… mais dans la relation ?

le pouvoir

Le monde change vite et les anciens réflexes de pouvoir, basés sur la position, le contrôle ou le statut, ne tiennent plus dans la durée. Les dirigeants qui veulent peser dans ce monde en transformation doivent affronter une réalité :

Ce n’est pas leur pouvoir qui fera leur influence.
C’est leur capacité à l’incarner autrement.

Ce que l’on appelle encore « pouvoir », doit se transformer en autorité juste, en présence ajustée, en influence profondément relationnelle.

1. Du pouvoir comme domination… au pouvoir comme permission

Le pouvoir a longtemps été synonyme de supériorité, de distance, de verticalité. Aujourd’hui, il devient un espace dans lequel les autres peuvent grandir. Un leader puissant est celui qui crée les conditions d’une contribution plus juste, plus libre, plus engagée.

👉 Ce n’est pas moins d’autorité.
👉 C’est une autorité plus incarnée, plus lisible, plus régulée émotionnellement.

2. Clarifier la posture hiérarchique sans l’imposer

La hiérarchie n’a pas disparu mais sa rigidité n’est plus crédible. Les collaborateurs attendent du cadre, pas du carcan. Le leader d’aujourd’hui doit être capable de :

  • dire ce qui est attendu sans infantiliser,

  • distribuer le pouvoir sans se désengager,

  • nommer les inégalités sans les entretenir.

C’est un art du discernement relationnel.
Et un test permanent de maturité.

3. L’empathie n’est pas un luxe, c’est une forme d’autorité

L’époque a tranché : les leaders qui tiennent sont ceux qui savent écouter, ressentir, ajuster sans perdre leur cap. Cela ne rend pas le leadership plus facile mais cela le rend plus humain, plus exigeant, plus durable.

👉 L’empathie n’est pas une faiblesse.
👉 C’est un signal fort de présence intérieure.

4. Créer de l’impact, pas du consensus

Le vrai pouvoir, ce n’est pas d’obtenir l’unanimité. C’est de faire émerger des idées plus justes que les siennes. C’est d’accueillir le contre-pouvoir comme une force de clarté.

Dans un monde en tension, le leader mature ne cherche pas la paix à tout prix.
Il cherche la cohérence, l’élan, la responsabilité partagée.

5. Le pouvoir symbolique est réel

Chaque geste du leader est un message. Un modèle de comportement. Un repère culturel. C’est pour cela que le silence, le style, l’absence, les choix de mots et de priorités comptent autant que les actes visibles.

👉 Être leader, c’est être observé, attendu, questionné.

Et ce n’est pas une pression. C’est une opportunité de créer du sens.

le pouvoir

Conclusion

Dans les années à venir, le pouvoir ne disparaîtra pas mais il changera de nature. Ceux qui tiendront, et transformeront, sont ceux qui auront osé réconcilier leur autorité avec leur humanité, leur position avec leur posture, leur rôle avec leur responsabilité intérieure.

Ce n’est plus l’époque du pouvoir vertical.
C’est l’époque du pouvoir relationnel.

Et cela change tout.

👉 En savoir plus sur nos accompagnements 👇

📍 Personnalisés

📍 A la transformation